Dans Mourir n’est peut-être pas la pire des choses, Pascal Dessaint mélange comme il sait le faire le macabre, le mystère, le quotidien et la poésie. Des disparitions inexpliquées dans une ambiance de secte et de retour à la nature conduisent l’enquêteur à s’interroger sur sa propre existence.
Ses personnages, on a envie de les rencontrer pour de vrai, si ce n’est déjà fait… Alors allons-y. Balade imagée à Toulouse, le long du canal du Midi.